Photos Jean-Pierre Maurin

« Dans une langue poétique, Magne van den Berg donne magnifiquement la parole à ces jeunes quinquagénaires que la vie n’a pas épargnées. […] Par le prisme de l’amitié indéfectible qui peut unir deux femmes totalement opposées, l’autrice néerlandaise trace une belle cartographie de ce que l’on appelle la solidarité féminine . […] Pascale Henry, s’est adroitement appropriée ce texte découvert à la Mousson d’été en 2020. Sa mise en scène adroite et délicate nous fait entendre une tragédie où l’humour se glisse entre les mots et les situations  […] Les deux comédiennes, avec talent et habileté, font merveilleusement frémir cette histoire qui prend à la gorge. C’est beau ! »

Marie-Céline Nivière

L’œil d’Olivier

 

« C’est l’une des perles théâtrales de ce début d’année  […] Une caravane, quelques brins d’herbe, du linge qui sêche, deux chaises de jardin, dans ce décor deux femmes […]

Valérie Bauchau et Marie-Sohna Condé sont si touchantes plantées dans leurs bottes roses à fleurs trop grandes pour elles, que nous prend soudain l’envie de les rejoindre pour tracer la route, loin de tout. »

 

La tribune de Lyon

 

Dans l’écriture de Magne van den Berg comme chez tous les auteurs qu’elle a montés jusque-là, Pascale Henry trouve une réponse singulière, inattendue, à la grande question de l’Autre qu’elle ne cesse de reformuler, d’approfondir […]

On ressort avec plus d’incertitudes qu’à l’arrivée. De ces incertitudes qui, loin de le paralyser, stimulent l’imaginaire, incitent à la métaphore. Deux alliés essentiels de Pascale Henry dans son refus de l’« aplatissement du monde ».

 

Anaïs Héluin – Sceneweb

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